Le MBA est-il un passage nécessaire pour réussir pleinement sa carrière ? Un ingénieur diplômé d'une grande école est pointu sur l'aspect technique, mais il est difficile pour lui d'être efficace sur le management. Dans un monde global, une double compétence est un plus. Il est donc important de compléter sa formation. La voie de la recherche est une solution, mais les appellations varient suivant les pays, alors que le MBA est un diplôme universel. « LE MBA a spécifiquement été conçu pour apporter une seconde qualification aux ingénieurs. Il s'est ensuite progressivement ouvert à d'autres types de populations », rappelle Dan Evans, doyen de l'Executive Education à l'EM Lyon. Pour preuve : les programmes MBA full time et part time de l'école comptent à ce jour 40 % d'ingénieurs. Veste Lacoste pas cher
Il est vrai qu'historiquement, le MBA, né aux États-Unis au début du XXe siècle, s'adressait spécifiquement à des profils d'ingénieurs occupant des postes à responsabilité, l'objectif étant d'intégrer les niveaux hiérarchiques managériaux les plus élevés de l'entreprise. C'est aujourd'hui toujours le cas. Un passeport obligatoire Pour autant, le MBA serait-il un passage obligé pour les ingénieurs ? La réponse de Jacques Tournut, directeur académique de l'Aerospace MBA, créé en 1999 par le Groupe ESC Toulouse, est claire : « Faire du management généraliste pour comprendre l'entreprise, c'est aujourd'hui valable pour tout le monde, et encore plus pour un ingénieur ! » Frédéric Rombaut, 41 ans, diplômé de l'École centrale d'électronique (ECE), aujourd'hui directeur de Qualcomm Ventures Europe, partage pleinement ce constat. « Être capable de lire un bilan et savoir ce qu'est un taux de rentabilité interne est un bagage indispensable. » Frédéric Rombaut a toujours exercé un métier d'ingénieur polyvalent, « la gestion des hommes, des chiffres et des projets », résume-t-il. Chez Bouygues, il est détaché comme ingénieur projet réseaux dans le cadre d'un joint-venture avec IBM, avant d'être promu chef de projet au sein d'une cellule en charge de la diversification du groupe dans les télécoms. Cellule qui donnera naissance en 1995 à Bouygues Telecom, troisième opérateur de téléphonie mobile en France. T shirt lacoste pas cher C'est ce moment qu'il choisit pour suivre le MBA de l'IAE de Paris sur deux ans, de 1993 à 1994. Valoriser son diplôme initial Après huit ans chez Bouygues, suivis d'un passage chez PricewaterhouseCoopers, Frédéric Rombaut est recruté par Apax Partners, leader mondial du capital investissement, comme directeur de participations. « Cette entreprise n'embauche que des X-Harvard. Je n'étais déjà pas X, si, en plus, je n'avais pas fait de MBA... C'était pour moi le passeport obligatoire. Chaussures Lacoste pas cher
» En France, et plus généralement en Europe, le premier diplôme reste primordial. « Un diplômé de l'X se placera mieux qu'un Supélec qui se placera lui-même mieux qu'un universitaire », insiste Jacques Tournut. Cependant, un MBA peut « transformer » le diplôme initial. « Il est clair qu'un MBA n'efface pas le passé, précise Dan Evans, mais il permet de rendre des compétences transférables. » Il permet également, et c'est là son principal atout, de s'exporter à l'étranger où les écoles d'ingénieurs restent encore méconnues.JEAN-LOUIS Borloo en avait fait son cheval de bataille. Car pour parvenir à faire des emplois des services à la personne l'Eldorado tant attendu, le pari du ministre a, dès le départ, été de favoriser l'émergence de marques et de plate-forme garantissant d'un côté le recrutement, la formation et les évolutions de carrières des salariés et de l'autre la disponibilité et la qualité de service pour les employeurs.

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